Introduction :
C'est aujourd'hui le sixième bros-névole à passer sur le ring du top 15 gaming !
"Le ring" est le mot car grand amateur de jeux de combat (mais pas que), il met des raclées sur Street Fighter V, organise les blind tests et les talk shows, mais aussi, a remporté la coupe du bros-névole de l'année 2020 : il s'agit de Lightstar aka Light !
Un top qui réservera bien des surprises quand on pense connaître les goûts vidéoludiques d'un des derniers bros-névoles arrivé dans l'association !
Et sans plus attendre, commençons ce top 15 de Light !
Un Lightstar tous sourire avec son trophée "Bros-névole de l'année 2020"
15 - Castlevania : Symphony of the Night ( Playstation 1, 1997) :
" Pour ce quinzième jeu, il s'agit d'un titre que j'ai sans doute moins "poncé" que les autres de ce top, mais qui devait pour moi figurer dans ce top pour ses nombreuses qualités.
C'est un jeu que j'ai fait récemment et qui m'intéressait beaucoup pour son aspect "Metroidvania" (même si pour moi ce titre est plus Metroid sous la sauce RPG) avec ses architectures verticales, des objets et compétences à trouver pour avancer, etc...).
J'en avais d'abord entendu parler, j'ai pris un certains temps avant de m'y mettre. J'avais commencé des parties sans les finir, et il a fallu un problème d'opérateur internet pour que je m'y mette réellement sur émulateur.
Beaucoup de qualités à énumérer sur ce jeu : déjà la direction artistique que je trouve vraiment superbe. Le trait de celle-ci est vraiment magnifique. Rien que la jaquette du jeu est vraiment formidable, elle est digne d'une peinture.
Graphiquement, la 2D rend honneur à la PS1. C'est hyper propre, il y a beaucoup d'animations.
Petit point sur le doublage et sur la séquence d'introduction qui m'a donné envie d'aller plus loin dans le jeu. Celle-ci est incroyable, surtout avec cette phrase mémorable de Dracula (en version anglaise) : "What is a man ? A miserable pile of secrets !". Et en voyant ce jeu d'acteur, tu te demandes ce que donnera la suite !
Cette suite est du même acabit : le doublage anglais est formidable, digne d'une pièce shakespearienne selon moi.
Big-up aussi au doublage du marchand vieillard un peu fou avec un intonation de voix assez extraordinaire (comme pour d'autres personnages).
Le level design est tout aussi formidable !
Beaucoup de zones à parcourir comme la tour de l'horloge, les égouts, la bibliothèque ; pleins de niveaux hyper complets vraiment superbes sous ce style un peu baroque.
Et une fois le jeu fini, tu redécouvres le même château mais inversé : tout ce que tu as traversé au début, tu le refais mais avec une progression et des endroits différents. Tu redécouvres les niveaux et même d'autres musiques (composées par Michiru Yamane qui aura fait les meilleures ost de la série sur celui-ci) aux styles très différents mais qui se marient très bien (de la classique à l'électro par exemple). Tu peux passer du musique style "flamenco" à une musique baroque d'un niveau à l'autre et ça marche très bien !
Le scénario est pas mal en soi avec quelques retournements de situations : pas extraordinaire mais pas mal du tout.
Petit bémol sur les différentes fins à débloquer : on est pas réellement guidés. Comme par exemple, si tu n'es pas équipé du bon objet avant un certain combat, tu passes à côté de la vraie fin et tu as une fin de m*rde.
Ensuite, la courbe de difficulté est assez inégale. Par exemple, l'un des tous premiers boss m'a fait beaucoup galérer et ceux suivants ne m'ont pas forcément donné du fil à retordre. Et aussi la progression générale dans le jeu n'est pas toujours facile (à titre personnel peut-être), concernant le repérage dans le château par moment.
Frustrant mais ça ne m'a pas empêché de finir ce jeu qui est vraiment excellent !"
Theme favori : Lost painting
14 - Crash Team Racing (Playstation 1, 1999) :
"CTR, premier du nom, est (pour l'anecdote) un jeu que j'avais acheté avec de l'argent gagné grâce à un "Banco" (jeu à gratter, ndlr), tout comme un autre jeu présent dans ce top. Je me souviendrai toujours de ce jeu en partie avec cette anecdote.
Il faut savoir que je suis plus familier avec l'univers de Crash Bandicoot que celui de Mario : si je compare les deux, c'est pour le rapprochement avec ce jeu et la licence Mario kart. N'ayant pas pu toucher à une console Nintendo, mon premier contact avec un univers de jeu de plate forme a été Crash Bandicoot 3. Donc le rapprochement avec CTR était évident.
Et même après toutes ces années et de multiples sessions de Mario Kart, je préfère toujours CTR, et ce pour beaucoup de raisons. Déjà les personnages me parlent plus, j'ai plus d'affect avec Crash, Coco, Cortex, Aku Aku, Uka Uka etc qu'avec Mario, Luigi et compagnie.
Niveau gameplay, je trouve celui de CTR assez juste, assez bien ficelé, dans la mesure où il y a pas grand chose en soi ; un bouton d'accélération, un pour lancer les objets, un pour déraper et un dernier bouton pour le turbo utilisable en remplissant une jauge grâce aux dérapages. Ce dernier point permet de créer des stratégies sur les circuits assez élaborées. Le jeu est "easy to learn", mais pour vraiment maîtriser il faut s'armer de courage et de persévérance !
Le point sur le dérapage est pour moi plus intéressant que celui de Mario Kart (faire gauche et droite avec la croix directionnelle pour faire déraper le kart, je ne trouvais pas ça ergonomique).
Niveau armement, pas beaucoup plus d'armes que dans Mario Kart, mais c'est suffisant. Cela permet de maintenir un certain équilibrage dans le jeu.
Pour les personnages, il y a tous ceux des jeux Crash, ce qui est intéressant surtout quand on est fan.
Beaucoup de circuits aussi, une vingtaine environ et franchement ça fait le taf.
Un peu dommage par contre de ne pas accéder en multi à certains circuits solos (la Station Oxyde par exemple). Cela ampute du contenu pour une raison qui m'échappe.
Pour ce qui est du multi-joueur en local justement, celui-ci est un gros point fort du jeu avec ces différents modes de jeux comme le versus avec ou sans IA, les coupes et les batailles sous forme de deathmatchs (ce dernier mode ayant des objets inédits d'ailleurs !)
J'ai beaucoup joué avec mes potes au multi, dont un qui était un crack absolu. Il battait tous les temps records du jeu, et a "tryhard" au point de tenter d'obtenir les meilleurs scores européens. Cela contribue à mes souvenirs de jeu. Pote contre qui j'ai joué à un festival à Rennes (le Stunfest) lors d'un tournoi CTR d'ailleurs, duel que j'ai perdu de peu à cause d'un démarrage raté pour l'anecdote.
Le contenu en solo est conséquent, avec son mode aventure où tu parcoures des mondes en finissant des courses, en combattant des boss et en débloquant d'autres mondes (un système d'openworld découpés en zones). Cette liberté rend le mode aventure intéressant pour le coup. Sans oublier le mode coupe présent aussi en solo.
Graphiquement le jeu est propre, on reconnaît le style des Crash Bandicoot ; l'univers bucolique, fun et cartoon. Même les circuits sont variés entre ceux futuristes, ceux dans les temples, etc.
Les OST sont très bonnes, surtout le thème principal que je retiendrai ici.
Pour finir sur les défauts, la difficulté d'abord qui est des fois assez inégale. Surtout les boss avec leurs armes infinies. Un petit défaut mais quand même.
Ensuite, les stats des persos sont présentes dans le mode aventure mais en dehors de celui-ci, j'ai l'impression que le système n'est pas présent. Tu ne sais donc pas si tel perso est plus fort que l'autre : il aurait été bien de le préciser.
Le reste est suffisamment bon pour te faire relativiser ces défauts."
Theme favori : Main Theme
13 - Devil May Cry (Playstation 2, 2001) :
"Ce jeu a été important pour ma culture de gamer déjà avec le trailer dans un CD de démos : découvrir cette génération 128 bits avec ça, les scènes dans le repaire de Dante (héros du jeu) où celui-ci attend un travail : celui de chasser des démons. Cette bande-annonce avec le combat contre Trish bourré d'action, les punchlines des deux personnages ; voir cette vidéo à l'époque m'a donné envie d'avoir ce jeu !
Et quelle joie lorsque j'ai pu y jouer !
Déjà, ce fut mon premier contact avec le genre "beat them all", qui est un genre que j'aime beaucoup maintenant pour son exigence, sa nervosité, la nécessité de parvenir à ses fins en se donnant à fond, etc...
Devil May Cry possède un système de notation des combos repris dans les autres opus, ce qui te pousse à varier tes armes, tes approches en fonction des ennemis, ce que je trouve assez cool.
Le gameplay par contre a pas mal vieilli, mais à l'époque je le trouvais celui-ci bien fichu ; j'avais rarement joué à des jeux aussi dynamiques et bons à prendre en main.
Graphiquement le titre est pas mal, même s'il n'est pas le titre le plus beau de la PS2, mais dans le style graphique et la direction artistique quelque chose d'assez sympathique s'en dégage (les costumes de Dante, les décors variés et sombres, la variété d'ennemis avec leur façon de combattre et d'être combattus...)
Pour la durée de vie, elle est assez bonne surtout avec les difficultés supplémentaires et leurs bonus propres. Une difficulté appelée "Dante must die" fait que Dante meurt au moindre coup : pas faite à l'époque et même encore maintenant. Mais si tu n'en as pas eu assez avec le jeu, tu peux "t'infliger" ça.
La difficulté du titre est plus dans la compréhension des paterns des boss et ennemis que dans le reste pour les combats (sauf le griffon qui est assez galère). Dans mes souvenirs il n'y a pas eu de combat qui m'a fait galérer plus qu'un autre.
L'OST est pas contre pour moi très en retrait, là où les autres DMC ont des OST plus intéressantes je trouve et qui s'affirment beaucoup plus. Les musiques ici sont plus des musiques d'ambiances.
Pour l'histoire, il ne faut pas chercher loin : tu es le fils d'un seigneur démon et d'une humaine et tu dois vaincre un autre seigneur démon vaincu par ton père aidé par Trish.
Ce qui sauve tout ça c'est le charisme de Dante : il "trashtalk" tout le monde, est provocateur à outrance, il en a rien à faire de tout et c'est absolument génial. Mais à part lui, pas d'autre figure charismatique. Trish perd malheureusement son intérêt au fil du jeu, surtout durant la scène de fin.
Autre défaut, je trouve que les armes n'ont pas toutes le même intérêt, malgré leur nombre. Une fois que tu trouves ton style de jeu et ton arme tu restes ancré avec et délaisse les autres. Cela aurait gagné à être une peu plus équilibré.
Autre point négatif avec la caméra "à la Capcom", c'est à dire avec des angles comme pour Resident Evil. Sauf que sur DMC, ça ne marche pas et ça n'a pas trop d'intérêt. Ceci s'et répété pour le second opus puis s'est estompé avec les suivants"
Theme favori : EV 07 (Phantom Appearance - Batlle ver.02)
12 - Slay the Spire (PC, 2017) :
"Avec Slay the Spire, j'ai trouvé quelque chose qui était un peu à la mode mais que je découvrais pour la première fois : un système de batailles au tour par tour avec des decks de cartes. C'est ma première fois avec un jeu possédant un système de "deck building". Sauf qu'avec Slay the Spire, on a un gameplay qui est pour moi vraiment brillant, et je pèse mes mots.
Le jeu propose un système de classes (4 au total), ayant chacune leurs stéréotypes mais que l'on peut builder à sa guise en fonction des choix de cartes lootées en fin de combats. Par exemple, en choisissant le Guerrier, tu peux l'orienter plus "Attaque" mais moins axé sur la défense, ou alors le faire plus technique. Si tu fais un Assassin, est-ce que tu le fais full poison ? Et autres réflexions du genre.
Le fait d'être poussé à faire des choix est un élément du gameplay qui est juste formidable dans la mesure où chaque run peut être différente.
Ajoute à cela des artefacts que tu peux looter et qui te donnent des effets complémentaires, des potions, et ça te donne un jeu extrêmement riche, qui te permet une grande liberté. Chaque partie est unique.
Ajoute aussi le système d'ascension qui est un système qui, quand tu complètes le jeu, te permet de le recommencer avec des contraintes ; celles-ci étant plus importantes au fur et à mesure que tu avance dans le jeu. Donner plus de difficulté et de variété à un rogue-like est appréciable, surtout quand celui en possède déjà énormément !
Lors des combats, tu as la possibilité de voir ce que vont faire tes adversaires : un avantage au début mais qui ne l'est pas tant que ça par la suite. Ceci permet d'adapter son jeu en fonction de l'ennemi en face, d'être créatif et de bien doser son Mana, essentiel pour effectuer des actions.
Pour ce qui est des graphismes et de la DA, c'est un peu particulier parce qu'on est en 2D (personnages et décors) mais avec une impression de toiles peintes en arrière-plan ; ce qui est particulier sachant que la DA est assez ésotérique (mélange de différents genres assez uniques).
Le style des décors est un peu "halluciné" comme sur la fin avec des embranchements d'os, la ville un peu sombre mais cela participe à l'ambiance du jeu. Pour moi l'essentiel est ailleurs, et c'est le gameplay.
L'OST est assez bonne, même si c'est un "mini" point faible car il y a très peu de pistes et qui se répètent souvent. Mais je l'apprécie toujours autant : le travail de Clark Aboud est très orchestral avec les cordes, les cuivres... ce qui marche bien, mais qui peut être lassant. C'est plus un bémol qu'un défaut.
Même si j'ai du mal à en trouver, un point faible réside dans la force des boss par rapport à certaines classes choisies : je pense à un boss en particulier que je jouait avec la classe Silencieuse et qui a été très compliqué à vaincre. Mais c'est peut-être parce que je m'y prenais mal aussi.
Les classes aussi toute un "game system" qui revient souvent au même (la Silencieuse qui utilise des cartes à faible coûts, le Guerrier fait des dégâts etc)
Mais toutes les classes restent intéressantes à jouer.
Le jeu est assez bien fichu pour te faire comprendre qui si tu as perdu, c'est de ta faute. S'il y a un échec, tu es sûr que c'est ton deck ou ton gameplay qui est à retravailler plutôt que le jeu en lui même qui te puni.
Tu te dis "Oui j'ai fauté, mais je ferai mieux la prochaine fois !", et je trouve ça très intéressant !
Même après 84 heures environ sur ce jeu, je ne pense pas m'arrêter là ; surtout avec sa durée de vie conséquente !"
Theme favori : The Guardian Emerges
11 - Life is Strange (PC, 2015) :
"Ah mais quel jeu !
Et pourtant, il faut savoir que le gameplay un peu limité des jeux narratifs (dans la veine des point n' click), ne m'attirait pas des masses. Je trouvais que c'était plus de la série télé interactive qu'autre chose. Sauf qu'on m'a chaudement conseillé de jouer à Life is Strange et j'ai pas regretté ; ça a été une des expériences vidéoludiques les plus impactantes de ma vie !
Le scénario raconte les aventures de la lycéenne Maxine et ses soucis d'adolescente (l'intégration, la différence avec les autres etc). Elle croise un jour Chloé, une amie à elle qu'elle n'avait pas revu depuis longtemps, qui se fait tirer dessus devant ses yeux : sous le choc, Maxine se rend compte qu'elle peut remonter le temps et ainsi éviter à Chloé de se faire tuer. Après ça, Chloé et Maxine vont tenter de retrouver Rachel, une amie de Chloé portée disparue.
Le jeu se déroule sous forme d'enquête tout en utilisant les pouvoirs de Maxine qui auront des conséquences qu'elle ne souhaitait pas.
Je trouve le récit bon, malgré quelques incohérences à quelques moments qui ne m'ont pas dérangé tant le reste est bon.
L'histoire traite de sujets intéressants comme le racisme, la peur de la mort, la force de la religion aussi ; le point de vue de l'adolescent est assez bien trouvé (malgré des personnages un peu stéréotypés)
J'ai pris plaisir à parcourir l'univers du jeu et à apprécier son côté "cosy", très "chill" avec les couleurs assez chaudes, qui fait que tu te sens bien dans le jeu. Je trouve la DA assez plaisante ; il y a un mélange entre un côté photoréaliste et un côté BD assez intéressant.
Niveau gameplay, le fait de remonter le temps est intéressant quand quelque chose ne va pas ou que tu penses avoir fait le mauvais choix lors d'un dialogue par exemple. Ce qui permet d'expérimenter des branches de scénarios assez facilement. Tu peux façonner ton aventure comme tu le souhaites. C'est un peu tricher, mais c'est intéressant et rafraichissant dans ce genre de jeu, là où d'autres te font assumer tes choix et leurs conséquences.
Après comme pour ce style de jeu, le gameplay est limité : il faut interagir avec tous les objets qui passent, parler à tous les personnages... mais ça fait partie du jeu après tout.
La durée de vie est assez conséquente ; tu n'as que 5 épisodes mais ceux-ci sont assez longs au final. Tu dois avoisiner les 15-20 heures au total.
L'OST est posée, un peu pop par moment, qui va avec l'esprit adolescent et cosy du jeu.
C'est la première fois dans un jeu vidéo que j'ai mis du temps à me décider pour quel choix faire par moment, tellement certains sont déchirants. Au point de poser ma manette pour certains d'entre eux tellement j'étais bouleversé. Je n'ai jamais ressenti ça sur n'importe quel autre jeu, même sur des jeux avec un scénario élaboré je ne me suis jamais demandé si je devais faire tel ou tel choix comme ça. Et le choix final aussi qui m'a brisé le cœur, en lien avec Chloé et Maxine, et c'est un des points forts du jeu ; ce fait d'être attaché aux personnages et de prendre des décisions qui impactent leur vie ça te remue. Le jeu est très fort pour jouer sur les émotions du joueur.
Mais par moments le jeu peut être long pour rien.
Il y a aussi les moments le jeu te faire perdre parce que tu t'es trompé dans une interaction. Heureusement tu as le voyage dans le temps, mais ça devient vraiment répétitif et pas très clair par moment. C'est dommage, ça casse un peu le rythme du jeu.
Certains personnages sont peu intéressants, mais dans ce style de jeu aux personnages divers et variés il y en a forcément certains qui te plaisent moins que d'autres."
Theme favori : Menu theme
10 - Baten Kaitos (Gamecube, 2005) :
"Premier pont que j'ai trouvé intéressant dans ce grand jeu, c'est le système de combats au tour par tour avec des cartes (comme Slay the Spire quelque part) mais j'ai surtout découvert un jeu qui allait plus loin que ça.
J'ai même versé quelques larmes à la toute fin !
Comme dit précédemment, le jeu possède un gameplay assez atypique, avec ses combats au tour par tour, dont les attaques et compétences prennent la forme de cartes. On y trouve un système d'attaques d'élémentaires qui peuvent s'annuler (ex : mêler des attaques de feu et d'eau fait qu'on ne cause aucun dommage à l'adversaire). C'est un peu cocasse parfois et tu peux faire foirer les combats avec ça. Surtout que certains ennemis sont sensibles ou résistants à certains éléments.
Ce jeu, malgré que j'ai pu tâter d'autres J-RPG du même style, m'a fait un sacré effet.
Qui dit J-rpg dit scénario, et celui du jeu est très très bon, tu passes un excellent moment. Ce qui est très intéressant dans le jeu c'est que c'est toi qui prend part au jeu : en fait, Kallas (le héros) est lié à un esprit et cet esprit c'est toi, le joueur.
Tu diriges indirectement ses actions et il te consulte parfois directement : il y a un point de vue assez atypique pour un J-Rpg.
Les personnages, lieux et péripéties traversées font que tu vis une belle aventure jusqu'à la scène post-crédit où l'on s'adresse à toi directement. Et mon investissement dans le jeu m'a fait faire tomber une larme à ce moment. Quitter tout cet univers et ces personnages a été compliqué !
Le jeu a aussi un univers, un design propre à lui et une direction artistique assez belle. Mais par moments, cet aspect "tableau/esquisse" peut te perdre surtout pour parler à certains PNJ. Mais ce détail ne m'a pas empêcher de finir le jeu.
Des décors aussi divers et un peu originaux pour certains. Il y a aussi une histoire avec les différents continents qui s'allient à la fin pour le boss final.
La durée de vie assez conséquente comme beaucoup de J-RPG, surtout avec le 100%. Même si je n'ai pas été jusque là pour pouvoir voir la fin.
Pour l'OST, c'est vraiment formidable : Motoi Sakuraba, c'est un type avec un CV long comme le bras (Tales of, Dark souls, Golden sun...). Il s'est vraiment donné sur le jeu. Il y a beaucoup de titres que j'aurai pu citer. Il s'est même permis quelques dingueries comme par exemple une sorte de musique techno des années 80 en plein combat de boss : assez particulier dans un J-RPG.
Pour les défauts, je citerai un des combats de fin que je trouve inutile, dont je n'ai pas compris le lien avec le scénario. Et je ne suis pas le seul apparemment, pour être aller sur des forums ici et là. C'est vraiment au point de vraiment casser le scénario !
Il y a aussi quelques personnages qui sont pour moi pas terribles, et cela est dû en parti aux doublages par moments très inégaux.
Je n'ai rien de spécial de négatif à donner sur le gameplay : il suffit de le prendre en main. Sauf un bémol sur la "RNG" car on peut ne pas avoir les bonnes cartes qui apparaissent au bon moment et c'est très punitif."
Theme favori : Valley of the Wind
9 - Borderlands 2 (PC, 2012) :
" Il faut savoir que j'ai fait le premier, que j'ai beaucoup aimé, mais franchement le deuxième j'ai surkiffé. Surtout avec le confort du clavier souris comparé à la version console que j'ai pu tester aussi.
Il y avait de très bonnes bases de gameplay "FPS-RPG" avec du loot dans le premier jeu, mais pour moi le 2 est un "Borderlands 1 ++++".
Ils ont pris ce qui marchait bien dans le premier jeu, et ils l'ont poli et raffiné à un point assez impressionnant.
Même s'il reprend le cell-shading assez appréciable du premier, les décors de cet opus sont quand même plus variés que dans le premier : tu voyages entre des étendues de glaces, des jungles, des usines etc. C'est assez fou et plus agréable à suivre que le premier.
Sur le gameplay, ils n'ont pas changé la base du premier, même si pour moi ils l'ont fluidifié. Il est pour moi plus simple à prendre en main.
Les classes de base (hors DLC) sont à peu près les mêmes, tu as de nouvelles modifications d'équipements comme les objets de classes qui te permettent de jouer ton personnage comme tu le souhaites.
Il y a toujours les différents fabricants d'armes, mais qui ont cette fois leurs propres caractéristiques, ce qui te permet de jouer comme tu le souhaites. Il y a aussi les effets des armes qui te font rendre compte de la richesse du gameplay, sans compter le loot et les milliers d'armes.
En terme d'histoire, il se sont vraiment affirmés comparé au premier en termes d'univers décalé. Le scénario en tant que tel est pas non plus extraordinaire, mais la façon de le narrer et le raconter à travers de ses galeries de personnages et situations est formidable !
Bien sûr ça passe si tu aimes l'humour décalé, absurde, et un peu "pipi-caca" par moments.
Tous ça est accompagné d'un doublage excellent en français ! Ils ont fait un travail qui respecte le matériau d'origine, les blagues fonctionnent super bien, tu comprends tous ce qui se passe : c'est assez dingue ! Ils se sont appropriés les personnages, surtout Eric Lemoine dans le rôle du Beau Jack.
Les quêtes annexes sont incroyables avec certaines références à la pop culture aussi. Les DLC (à part peut-être le premier qui est en dessous du reste) sont très très bons, surtout celui à l'aspect JDR (Tiny Tina's Assault on Dragon Keep) qui marche très bien avec l'univers du jeu.
La durée de vie conséquente donc ("QUE" 132 heures actuellement) mais tu peux le refaire avec pleins de classes à jouer aux gameplays différents.
Sans compter l'OST qui est très bonne, composée par Jesper Kyd (Assassin's Creed, Darksiders 2...). Mon OST favori (voir plus bas) d'ailleurs m'a littéralement emporté !
Pour les côtés négatifs, il y a la conduite des véhicules qui est un peu bizarre, des quêtes secondaires un peu inégales et peut-être qu'il soit un peu moins fun en solo qu'à plusieurs."
Theme favori : Wildlife Exploitation Preserve
8 - Darkest Dungeon (PC, 2015) :
"Ah ce jeu !
C'est un peu honteux de ma part à avouer, mais je ne l'ai pas encore terminé ! Et pourtant j'en ai fait des parties.
Le jeu est un RPG au tour par tour avec des éléments de rogue-like. Mais il est là pour une chose ; t'en faire baver !
Rien n'est acquis dans ce jeu ; quand tu te crois en sécurité, tu dois en réalité redoubler de vigilance. Le jeu est fait pour te faire galérer sur beaucoup d'aspects.
Mais ceci est en raccord avec l'univers du jeu, qui se déroule dans un univers de dark fantasy où notre "ancêtre" qui possède un château a été pris d'une curiosité malsaine et à fouillé de fond en comble les tréfonds de sa demeure. Il en a découvert que chaos et désolation. Tu devras donc libérer le domaine des abominations qui ont été libérées.
Et tout ça est narré avec une cinématique d'introduction que je n'ai jamais skippée, même après 70 heures de jeu. Tu ressens l'aspect "lovecraftien" qui se dégage du titre et c'est plutôt bon !
Avec ça, tu es prévenu par un petit message que tu passeras des moments très difficiles, que tu perdras des camarades etc... et j'ai trouvé ça assez formidable comme entrée en matière !
Avec tout cela, l'ambiance te semble déjà extraordinaire, mais le reste l'est tout autant ! Tu as 5 donjons à parcourir avec toujours cette ambiance malsaine qui se dégage, avec ses visions d'horreur qui rend l'ambiance dingue !
Graphiquement, le jeu aborde un style de BD, plutôt tiré du comics, qui est assez original et qui renforce l'ambiance générale du titre.
L'OST est bien évidemment incroyable aussi ! Elle est adaptative en fonction de la situation in-game. Cela donne une très bonne immersion dans le jeu.
Ensuite le gameplay, qui est le cœur du jeu pour moi. Tu as des donjons à parcourir par escouade de quatre, mais tu ne peux pas toujours choisir qui tu vas envoyer dans le donjon. Pour faire simple, tu as un système de niveau pour chaque donjon, ce qui fait que si tu as un personnage du groupe avec un niveau trop faible pour le donjon voulu, il ne rejoindra pas le groupe, et inversement pour les personnages trop forts pour d'autres donjons.
Tu es donc cantonné à certains membres de l'escouade que tu devras bien gérer. Surtout que la mort des unités est permanente ; tu dois donc tout faire pour éviter de les perdre en combat.
Surtout qu'il est assez difficile de soigner des personnages en combat ; le jeu étant très avare au niveau des soins, en plus des objets de heal non utilisables en combat.
Et en plus de gérer ta santé, tu dois gérer le stress de chaque personnage qui influe sur sa personnalité. Sous l'effet du stress, un personnage peut devenir peureux et va reculer et parfois mettre en danger les autres membres !
Pour remédier à cela, tu peux tout de même acheter des services dans des bâtiments qui influent sur le stress des personnages comme un bar ou une maison close.
Il y a aussi une jauge de vertu, qui est en gros une jauge bonus apportant des bénéfices au personnages et à l'escouade.
Il y a tout un management à faire !
Une fois toutes ces difficultés maitrisées, tu es tout de même assez content surtout après un combat de boss bien géré.
Petit bémol avec certaines unités moins utiles que d'autres à mon sens. Sans oublier que le jeu peut être vraiment punitif par moment et aussi qu'il y a un bâtiment un peu moins utile que les autres.
Mais pour moi, c'est un grand grand jeu !"
Theme favori : The Cove Battle
7 - Final Fantasy VIII (Playstation 1, 1999) :
"Si vous vous souvenez de l'anecdote des 2 jeux achetés avec l'argent d'un Banco, hé bien voici le second !
C'est une grande histoire d'amour avec ce jeu. C'est mon FF préféré, pour une raison toute bête déjà ; c'est le premier opus de la saga que j'ai fait.
Quand je l'ai lancé la première fois, ça a été une claque monumentale avec cette découverte des cinématiques en 3D avec un aspect plus réaliste des personnages. Ca a tranché avec des univers en 2D et moins cartoonesques, comme avec Crash Bandicoot par exemple.
Et rien que ça m'a fait dévorer le jeu. Ce genre de découverte et d'expérience te marque à vie et c'est pour ça aussi qu'il est aussi haut dans ma liste.
Après, s'il n'y avait que ça qui m'avait plu, il ne serait pas là ; les graphismes sont très très propres déjà ! Tu traverses des décors qui sont très très beaux, tu as une DA du monde qui est très particulier mais magnifique. Dédicace à la fac de Balamb qui m'a fait fantasmer sur mes futures années dans une vraie fac !
Le mélange bucolique et futuriste marche plutôt bien.
Un très beau jeu pour la ps1 avec ses personnages bien plus humanisés et réalistes.
Tout ça est d'ailleurs sublimé avec le remaster plus tard !
Le jeu a également été mon premier RPG et ça, ça te marque. Surtout avec son gameplay "Active Time Battle" (semi tour par tour) qui fait que les personnage ne peuvent attaquer qu'une fois une jauge remplie. Ce qui fait que tu peux te faire griller la priorité par un boss si sa jauge est remplie et que tu n'as pas choisi d'action. Un peu déconcertant au début, mais après on prend ça en main et les combats deviennent plus intéressants.
Le titre se démarque de ses grands frères au niveau de la progression ; là où les précédents opus font que chaque niveau te rend plus fort, le système de FF8 fait évoluer les monstres en même temps que toi.
La façon de facilement gagner les combats est d'utiliser le système d'absorption de sorts. Avec cela, tu peux en associer certaines sorts à tes stats personnelles, ce qui fera que tu auras des bonus/malus en fonction des associations.
Ce système a été un défaut pour beaucoup de fans des précédents FF, mais moi étant habitué dès le départ à ça, il n'en est pas un.
La durée de vie est colossale avec son contenu secondaire (comme obtenir les G-force, les armes ultimes, les invocations). Anecdote sur une invocation justement que tu débloques en activant un objet décrit comme ayant de redoutables pouvoirs. Curieux; je vais dans le menu, j'active l'objet, et là combat de boss contre Nosferatu !
Et tellement ma frustration a été grande pendant les divers combats contre lui que j'ai vendu l'objet au premier marchand du coin. Alors que c'est une invocation très utile en vérité.
Niveau scénario, on suit Squall Leonheart, étudiant voulant rentrer dans une force de mercenaires (les SeeD) participants à des conflits moyennant finances.
Après avoir passé l'examen tu te rends compte qu'il y a des complots qui se trament, la sorcière Edea qui veut mettre à mal le monde et l'ordre tel qu'il est, le pays de Galbadia qui veut être plus fort que les autres etc et tu te rends compte au fur et à mesure du jeu que la menace n'est pas forcément celle à laquelle on s'attendait.
Un scénario touffu, très bon, mais avec quelques bizarreries en terme de cohérence et de mise en scène.
J'allais oublier de parler du meilleurs mini-jeu de tous les FF à mon sens : le Triple Triad !
L'OST est juste légendaire, tous comme celles des autres opus de la saga. Choisir mon thème favori a d'ailleurs été un crève cœur, car j'adore la quasi totalité des musiques.
Pour les défauts, le système de progression des adversaires avec ton groupe peut être frustrant. J-RPG oblige, des personnages sont moins attachants que d'autres. La conduite véhicules n'est pas spécialement intéressante aussi. Les combats randoms sont aussi assez frustrants par moments.
Les combats ont parfois une difficulté bizarrement dosée en fonction de l'avancée dans le jeu : tu as un combat hyper dur au début et après, des combats plus simples.
Les moments également où tu as un timer sont hyper ch*ants !"
Theme favori : The man with a machine gun
6 - Bioshock / Bioshock Infinite (PC, 2007 / 2012) :
"Première "tricherie" de ce top avec 2 jeux de la même série sur le même palier.
Il m'a été impossible de les séparer parce que Bioshock a été mon premier contact avec un FPS au gameplay narratif et c'est un jeu extraordinaire sur beaucoup d'aspects.
Le moment de débarquer dans Rapture dans la batisphère au début du jeu, ça te marque à vie !
Le récit et l'ambiance sont les deux premiers points forts du jeu et sont liés dans la mesure où le scénario te donne un rôle à jouer dans la cité dévastée de Rapture. L'univers que tu n'as pas l'habitude de voir ou explorer auparavant et le fait d'arriver dans une utopie où rien n'a marché et est plongée dans le chaos le plus total rend l'aspect très horrifique.
Une ambiance de dingue qui est servie par un récit juste fou avec son plot twist de fin incroyable.
Niveau gameplay, le concept des plasmides et des armes rend le tout très bon et donne un aspect créatif aux combats. Avant je n'avais jamais expérimenté autant de créativité dans un FPS et ça fait du bien !
Autre intérêt du jeu : Les Protecteurs, qui ont vraiment leurs rôles. Ils ne sont pas méchants en soi, mais tu les tues pour ta survie en fait.
Tu as un système de libre arbitre avec ces ennemis et avec les petites sœurs qui est super intéressant.
Graphiquement le jeu est assez magnifique techniquement pour l'époque et même encore maintenant. L'inspiration art-déco des années 60 est très plaisante.
Une bonne durée de vie aussi pour un FPS, même si une vingtaine d'heures suffisent pour venir à bout du jeu.
Pour les défauts, peut-être le sentiment de danger qui disparaît au bout d'un moment dans le jeu, du moins en mode en normal. Aussi le fait de switcher entre les armes et les plasmides qui est un peu embêtant."
Theme favori : Cohens masterpiece
"Concernant Bioshock Infinite maintenant : malgré ce que les gens peuvent en dire, je le défendrai corps et âme !
Ce qui est intéressant dans Infinite, c'est que tu débarques à Columbia où tout va bien au début, et tu assistes à sa chute en "direct". Et aussi le fait de passer d'un univers subaquatique à un univers aérien est rafraichissant pour le coup.
Des gens ont pesté sur le multivers et la complexité de l'intrigue, alors que personnellement ça m'a transporté de bout en bout et je trouve cela fascinant.
Je trouve le scénario bon et les personnages attachants. Avoir un protagoniste qui parle change tout comparé aux deux précédents opus. Ajouter de la personnalité à Booker est une qualité. Et sans oublier Elizabeth, enfermée pendant des mois en haut de sa tour qui a son intérêt en combat et son caractère.
Comparé au premier opus qui était concentré sur la politique et le libéralisme, celui-ci s'est plus tourné vers la religion et le côté dictatoriale. La religion est omniprésente dans le jeu. Les contre-utopies des deux titres sont très intéressantes.
Tous cela fait que la série est beaucoup moins creuse, pour le genre FPS, que beaucoup d'autres sagas de FPS. Les sujets narrés des Bioshock dépassent le jeu vidéo à mon sens.
Concernant le gameplay, le soucis de switcher entre les plasmides et les armes a été modifié. Et ce qui est aussi intéressant, c'est qu'Elizabeth peut te filer des objets consommables en combat et c'est vachement bien ! Moi qui m'attendait à de l'escorte, à devoir te la trimbaler comme un boulet, elle n'est finalement pas une gêne mais un avantage hyper agréable et ce système de coopération indirecte avec elle est très intéressant.
Pour les graphismes, je trouve le jeu très très beau, la DA est magnifique avec un inspiration différente de Rapture en terme de level design (les époques sont différentes). Tu n'as pas l'impression d'être dans le même jeu que le premier et c'est aussi rafraîchissant.
Par contre niveau difficulté, le jeu est un peu mal calibré je trouve. Les combats peuvent être parfois mous, moins inspirés, avec des plasmides moins créatifs que le premier opus. Tu t'amuses moins à jouer avec les combinaisons.
L'OST est aussi incroyable que le premier opus. Celui retenu est vraiment formidable, surtout la version de la chorale au début du jeu ; tu es plongé dans l'univers dès le départ. Et cette OST prend encore plus de sens avec le DLC ; "Burial at sea".
Et ce lien qu'a Infinite avec le premier opus via le DLC fait que je ne pouvais pas les séparer."
Theme favori : Will the circle be unbroken
5 - Fire Emblem 7 (Game boy Advance, 2003) :
"Ce qui est très "drôle" avec Fire Emblem, c'est que j'ai découvert cette licence incroyable avec l'opus "Awakening", et j'ai tellement aimé que j'ai voulu voir ce qui avait été fait avant.
En fouillant un peu, j'ai découvert que FE 7 était assez bien côté et donc je l'ai fait. Et quelle expérience ça a été !
Le gameplay reprend le T-RPG iconique à la série, avec différentes unités à déplacer sur une map en vue de dessus, tu joues sur les forces et faiblesses des différentes unités, tu joues aussi avec le soutien entre les unités (cela apporte des bonus de stats aux unités qui ont un lien très fort entre elles).
Le système de lien est intéressant dans le sens où des histoires annexes se créent dans le jeu entre les personnages, et celles-ci s'implantent vraiment dans le jeu.
Le jeu est aussi très très bon en termes de tactique avec son lot de choix à faire et d'unités, c'est assez riche !
Le titre peut être aussi assez punitif si tu t'y prends mal, mais c'est ce qui est intéressant. Tu es obligé de te triturer les méninges pour t'en sortir, et c'est un très grand jeu par rapport à ça !
Le jeu n'est cependant pas compliqué à prendre en main, avec son le fameux triangle des armes (épée > hache > lance > épée). On a aussi un système de promotion de classe qui renvoie le personnage au niveau 1 mais avec une classe plus puissante.
Le système de stats qui s'améliore aléatoirement à chaque niveau qui est très drôle. Tu peux avoir seulement tes PV qui augmentent, ou bien tous d'un coup et là c'est la fête ! Cela rend l'évolution du personnage non linéaire. Les runs peuvent être très différentes.
Graphiquement, le jeu est magnifique pour de la GBA. Ce qui rend le jeu superbe aussi c'est le trait des dessins, mais surtout les animations en combat qui sont magnifiques !
Pour de la GBA c'est bluffant !
L'OST est très très bonne, mais assez répétitive malheureusement. Et je trouve que la puce sonore de la GBA sublime la musique.
La durée de vie est conséquente, tu peux compléter le jeu une première fois puis le refaire avec une autre voie.
Pour les défauts, je trouve l'antagoniste principal pas charismatique malheureusement. Ce qui est dommage, car dans FE 6 tu as un boss de fin ultra classe, et là il me paraissait carrément anecdotique.
Il y a aussi beaucoup trop d'unités, au point que tu en mets certaines de côté.
La RNG aussi peut être embêtante, mais c'est le jeu qui veut ça !
Theme favori : The Archsage Athos
4 - Xenoblade Chronicles - Definitive Edition (Swicth, 2020) :
"Il ne sera pas sur le podium, mais c'est un jeu que j'aime énormément.
Je dois remercier un pote qui m'a tanné pour que je le fasse. Et une fois commencé, j'ai déjà trouvé le jeu extraordinaire. Rien qu'en parler me rend ému !
Comme pour Baten Kaitos, j'ai lâché quelques larmes à la fin du jeu, avec les nombreux moments et le temps passé dessus, accompagné des personnages du jeu avec qui tu vis des moments hyper forts.
Mais pourquoi a-t-il une place si particulière dans mon cœur de gamer ?
Déjà avec ses graphismes (remodelés sur la version switch) qui sont très très jolis avec des décors magnifiques (la plaine de Gaur que tu explores avec la magnifique musique de Yoko Shimomura derrière). Et avec le cycle jour/nuit (qui a une incidence sur le gameplay du jeu) certains décors changent et sont juste magnifiques ! C'est très immersif, comme avec les marais de Satorl qui, le jour, sont pas très jolis, mais la nuit tu as des arbres qui s'illuminent de toutes les couleurs avec la musique derrière : c'est ma-gni-fique !
Le scénario est incroyable, en termes de retournements de situations, de perception du monde (avec des certitudes sur ce monde au début qui changent en avançant dans le jeu) etc...
Il y a aussi ce syndrome "Atlas de Bioshock", c'est-à-dire des changements de situation auxquels tu ne t'attendais pas!
Je n'ai jamais vécu autant d'émotions en jouant à un J-RPG que sur ce titre ! Entre la stupeur, la surprise, la tristesse...
Les personnages sont vraiment excellents, au point que je trouve que dans le groupe, il n'y en a pas de qui sont vraiment insupportables et c'est fort ; dans beaucoup de jeux de ce genre, tu as beaucoup de persos que tu as envie de baffer quoi, mais là non, ils ont tous leurs inspirations, leurs caractères et c'est formidable pour le coup !
La durée de vie est conséquente mais parfois pas pour les bonnes raisons : certains moments ne sont pas spécialement intéressants ou bien amenés. Il y a aussi un gros défaut qui a un lien avec la durée de vie : un des combats de boss à la fin qui juste
absurde, dans le sens où si tu n'as pas la construction de l'équipe idéale tu ne passera pas le combat !
Et l'autre défaut de la durée de vie, ce sont les quêtes secondaires qui sont plus des quêtes fedex. C'est pas intéressant je trouve. Quitte à faire un MMORPG en solo, autant mettre de côté les mauvais aspects de ce genre, non ?
Et ça te faire passer à côté d'améliorations vraiment utiles dans le jeu !
Certains combats sont aussi un peu brouillons avec des effets partout et le lock pas toujours au point je trouve.
Malgré tout, les combats sont assez tactiques dans le sens où en fonction de ton placement ou de celui de l'ennemi, tu peux faire plus ou moins de dégâts. C'est à dire si tu es derrière, devant, sur le côté etc. Tu peux aussi jouer sur les altérations d'état de l'ennemi, et c'est hyper intéressant. Tous les persos ont leurs capacités et certains seront tes petits préférés .
Et contrairement à d'autres titres du genre, les combats ne sont pas aléatoires ; tu vois les ennemis sur la map.
Niveau OST, un seul nom suffit à la décrire : Shimomura. Tout bonnement magistrale, avec des émotions qui sont ressorties en les écoutant. Les constructions orchestrales et musicales sont incroyables ; c'est magnifique.
Précisons que la version Switch apporte un petit DLC bien sympathique où tu joues avec le peuple des nopons, ce qui change un peu le gameplay".
Theme favori : Reminescence (Music box)
Le Top 3 de la puissance
3 - The Witcher 3 : Wild Hunt (PC, 2015) :
"Il faut savoir que j'ai voulu faire tous les jeux The WItcher avant celui-ci, dans le but de connaître au mieux le lore et l'univers avant de m'attaquer à ce troisème opus. Et ceci m'a permis d'autant d'apprécier The Witcher 3 !
Il est donc pour moi un formidable jeu et ce pour beaucoup de raisons !
Déjà le scénario, qui est pour moi une ENORME force du jeu ! Tu incarnes Geralt de Riv, comme dans les précédents opus, qui est la recherche de Ciri ; personnage d'importance dans les livres mais peu développé dans les précédents opus vidéoludiques.
Celle-ci est poursuivie par la Chasse Sauvage qui veut obtenir les pouvoirs de la jeune fille. Cela t'emmène dans différents coins du monde de The Witcher ; tu voyages donc beaucoup, tu rencontres des personnages formidables aux caractères bien trempés (Triss, Yennefer, Vesemir...).
Toutes les rencontres que tu fais, toutes les quêtes que tu réalises, créé de bons retournements de situations, des moments épiques ou tristes. Il y a tout dans le jeu pour vivre une excellente histoire !
Ce n'est peut-être pas la meilleure histoire que j'ai vécu dans le jeu vidéo, mais c'est clairement une des meilleures !
J'ai toujours trouvé que le monde de The Witcher est un peu notre monde mais transposé dans de la fantasy, avec son lot de racisme, de complots politiques,... Et pourtant des univers qui se rapprochent de notre monde à nous ont tendance à m'ennuyer, sauf que là non ! Après le côté dark fantasy y ajoute de l'intérêt.
Techniquement, il y a parfois du clipping, des petits bugs, mais cela reste très propre. Le framerate était pas stable aussi, mais c'était dû à mon PC de l'époque !
Mais sinon, le jeu est tout bonnement magnifique et certains décors que tu visites sont justes à "screenshoter" : les montagnes de Skellige qui s'élèvent au loin, Novigraad avec sa vie, Beauclair avec ses vignes qui donnent une impression de village méditerranéen.
La durée de vie est impressionnante, le contenu est monumental, surtout en y ajoutant les 2 DLC (153 heures passées à ce jour). Tu fais la trame principale, mais tu as les quêtes annexes en plus à côté, celles-ci apportent de l'intrigue et c'est super intéressant. Je ne connaissais pas beaucoup de jeux qui mettait autant la consistance et du corps à leurs quêtes secondaires comme ça.
Les DLC sont aussi juste incroyables. Même si je trouve le scénario beaucoup plus intéressant dans Hearts of Stone que dans Blood and Wine.
Les OST sont du même acabit que le reste, excellente musique avec ce côté très slave, tu as l'impression lors des combats d'être dans la peau du sorceleur ! Mon OST favorite n'a d'ailleurs pas été facile à choisir !
Le Gwent est juste trop bien comme mini-jeu, au point qu'il ait même son propre jeu dédié."
Pour parler défauts, tu ressens un peu d'inertie dans le gameplay, il y a un côté un peu lourd du personnage mais qui donne un peu de réalisme. Et puis on s'y fait.
La maniabilité du cheval est par moments un peu bizarre.
Si les choix et les destinés qu'ils modifient sont bien faits la plupart du temps, en soit, il y a un moment concernant Ciri où un choix qui te semble anodin a des conséquences vraiment extrêmes !
Theme favori : The Slope of the Blessure
2 - Hadès (PC, 2020) :
N'hésitez pas à aller lire la critique du jeu faite par Lightstar : https://manage.wix.com/dashboard/bf81013b-fb95-4831-aa00-e71bd64c45e6/blog/87c34367-264c-4184-8839-72fc6f782336/edit
"Une des perles du jeu indépendant !
Comment ne pas le mettre dans ce top, il fallait que j'en parle !
Déjà, le rogue-lite est un genre que j'aime beaucoup dans les jeux indés. Mais ce qu'à fait Supergiant Games avec ce genre là est juste historique.
Déjà graphiquement, c'est à en tomber par terre ; c'est une 2D qui est typique de Supergiant Games. C'est proche de la BD et très stylisé, avec une esthétique propre à eux. Tu as des modèles 3D qui bougent dans des décors en 2.5 D et je trouve ça formidable pour le coup !
Les personnages sont (je cite) "Sexy as f*ck" c'est tellement beau ! Tu as vraiment l'impression de jouer avec des dieux tellement ils sont beaux !
C'est pour moi une grosse réussite technique et artistique. Je pense vraiment que même dit comme ça je ne rend pas honneur à tout ça tellement c'est incroyable !
Niveau gameplay, on a une espèce de "diablo-like" plutôt bien ficelé. Le système de combos n'est pas le système le plus original du jeu, mais ce qui fait sa richesse et son intérêt, c'est tous ce qui gravite autour.
Déjà, tu as plusieurs armes à choisir au début (épée, lance, bouclier, etc...) ce qui va modifier la façon dont tu abordes le jeu. Ensuite, tu rencontreras des dieux qui vont te donner des bénédictions aux effets variés. Par exemple, on a Poséidon et ses effets de poussée, Arès et son système de malédiction, Artémis qui augmente les chances de coups critiques à tes coups, et j'en passe.
Et en plus, tu peux combiner les bénédictions de différents dieux, ce qui te créé tes propres stratégies de combats dans tes runs aux possibilités quasi infinies. Ca rend donc le gameplay très riche, chaque run ne se ressemble pas.
Ce qui pousse également à refaire le jeu, c'est aussi le scénario.
Je n'aurai jamais cru dire ça d'un rogue-lite, mais celui-ci est hyper bon.
De base il est simple : le fils d'Hadès veut s'échapper des enfers pour retrouver sa mère. Tu es aidé par les dieux qui croient que tu veux les rejoindre dans l'Olympe. Et plus tu fais de runs, plus tu auras de dialogues avec les personnages.
Ce qui rend l'histoire intéressante, c'est que celle-ci rend tous les personnages attachants tous autant qui sont. Ils ont tous leur intérêt et leurs caractères. La mythologie est adapté d'une certaines manière que l'on voit les dieux Grecs autrement et c'est plutôt cool pour le coup.
Plus ça avance et plus de révélations aussi sur l'histoire des personnages.
Une histoire riche et prenante qui fait du bien !
Le doublage aussi ; il est absolument pas à côté de la plaque ! Je ne pense pas avoir entendu un doubleur qui s'est foiré en faisant son personnage ; ils étaient vraiment tous dans leurs rôles !
La durée de vie est quasi illimitée ; tu peux faire des runs à l'envie !
Le défaut qui me vient en tête, parce que j'ai eu du mal à en trouver, c'est que je trouve le jeu un peu illisible sur les combats. Parce que tu joues en vue de dessus et tu as parfois des ennemis qui tirent des projectiles avec des effets visuels un peu illisibles. Ajoute à cela les effets des bénédictions, les ennemis qui vont dans tous les sens, et il est parfois compliqué à s'y retrouver parfois.
L'OST est très très bonne ! Notamment avec la chanteuse Ashley Barrett, invitée récurrente des jeux Supergiant Games (même si un peu moins présente que dans les autres jeux du développeur), et elle celle-ci a une voix juste incroyable !
Theme favori : Good Riddance
1 - Hotline Miami 1 et 2 (PC, 2012 et 2015) :
" Ah, quels jeux que sont les deux Hotline Miami !
Déjà pour le premier, ce qui m'a mis dedans c'est l'ambiance "synthwave"/années 80 (passion initiée par le film Drive qui m'avait déjà beaucoup plu à ce niveau) et ça m'a hypé.
Et même plus que ça ; ce sont deux titres m'ont influencé en tant qu'individu.
Vous aviez un Lightstar avant et un Lightstar après Hotline Miami. Ma vie n'a plus jamais été la même après avoir joué à ces 2 jeux, mais surtout depuis le premier forcément.
Depuis Hotline Miami, j'ai beaucoup changé dans mes goûts musicaux, dans ce que je suis, je ne suis pas le même Homme. E rien que cela justifie le fait que je ne pouvais pas les mettre en dehors de la première place !
Pour parler du premier opus en tant que tel, c'est un jeu en vue de dessus où tu as une succession de niveaux que traverse ton personnage (nommé Jacket d'après la fanbase).
Le but est assez simple en soi ; il faut tuer tous les ennemis de chaque niveau sans se faire tuer toi-même. Sinon tu retournes au dernier checkpoint. Et le jeu est hyper challengeant sur ce point, car tu dois faire les choses dans le bonne ordre, une sorte de puzzle-game se créé car lorsque tu tues un ennemi, il y a des réactions en chaine avec d'autres.
Ce qui est plus marquant, c'est que lorsque tu tires à l'arme à feu, les ennemis seront alertés. Alors qu'avec l'arme blanche tu es plus discret et tu peux mieux enchaîner les niveaux.
Il faut aussi jouer avec les patrouilles des gardes, ceux-ci ayant leurs paterns de déplacements. Le jeu est hyper intense au point de te procurer une adrénaline qui est assez forte !
Le jeu est en plus assez difficile, avec un vrai côté "die and retry" donc il faudra recommencer beaucoup de fois.
Tu es hyper fier du coup de terminer chaque niveau et encore plus le jeu à la fin.
Mais s'il n'y a avait que ça, il ne serait pas premier !
Hotline Miami, c'est aussi des graphismes singuliers, avec du pixel art assez "halluciné" et malsain qui contribue à l'ambiance particulière du jeu. Et puis l'atmosphère très néon, années 80, ça a un charme de fou.
Le scenario contribue aussi ce placement dans le top.
Tu contrôles donc "Jacket" qui reçoit des appels téléphoniques d'une organisation mystérieuse afin de détruire la mafia russe. A noter que les appels que reçoit Jacket sont codés d'une manière assez intelligente.
Jacket possède également des masques d'animaux qui permettent d'atténuer la culpabilité des meurtres qu'il commettra.
Ces masques octroieront des compétences à Jacket ; le tigre te permet de ne pas avoir d'armes mais tes coups de poings tuent instantanément les ennemis, le chien te permet d'avoir un couteau au début et tu frapperas beaucoup plus vite, etc...
Cela contribue au style du personnage, et couplé avec l'ambiance du jeu c'est incroyable.
Il s'avère aussi que le scénario du jeu est très cryptique en fait. Tu as une idée de ce qui peut se passer, mais la mise en scène, les personnages, etc... font que tu as très peu d'indices.
Tu te poses beaucoup de questions sur l'univers en fait.
Beaucoup diront que c'est un point faible, moi je le verrai comme un point fort ; tu n'es jamais sûr de rien, tu es souvent pris à contre pied et je trouve ça formidable de n'avoir aucune piste comme ça.
Niveau OST, que puis-je dire d'autre que formidable, incroyable... ?
Quand je disais que la musique m'avait influencé, c'est parce qu'elle m'a fait aussi découvrir un de mes artistes préféré, Perturbator, qui est un artiste synthwave (vu 4 fois en concert maintenant). Après il n'y a pas que lui, les autres OST du jeu m'accompagnent sur beaucoup de moments de ma vie en fait.
Mon OST favori étant un du deuxième opus, je donne tout de même mon favori du premier qu'est Miami Disco de Perturbator.
En défaut, je donnerai la difficulté parfois assez mal calibrée qui fait que certains niveaux sont assez simple et pour d'autres tu galères sans trop savoir pourquoi en fait.
Tu ne fais pas non plus des sessions trop longues non plus tellement le jeu est rageant sur certains points.
Dans le deuxième opus, tu n'incarnes pas un, mais plusieurs personnages : les fans de Jacket ,qui veulent refaire un peu les mêmes meurtres que leur idole, un policier véreux, un journaliste qui enquête sur les événements du premier jeu, Beard qui a un lien avec Jacket et que l'on peut voir dans le premier jeu et le fils du parrain de la mafia russe.
Les personnages sont intéressants et l'histoire un peu plus développée que le premier jeu.
Le jeu est aussi un peu plus sulfureux encore que le premier.
Il y a certaines scènes et propos insoutenables parfois. Ca contribue à l'impact du jeu selon moi, mais je peux comprendre que ça ne puisse pas du tout passer chez certains.
L'OST est encore plus énorme que le premier qui était déjà très bon sur ce point. Il y a des morceaux justes incroyables. Mon thème préféré en est à un point où j'ai du mal à réécouter quelque chose derrière.
Le gameplay offre des choses intéressantes, dans le sens où tu contrôles des personnages différents qui se jouent bien sûr différemment.
Cependant en termes de level design, je vais être un peu sévère, mais je le trouve absurde à certains moments. Les niveaux sont trop grands. Je n'ai pas vu de logique contrairement aux level design du premier. Il y a aussi les ennemis que tu ne peux pas voir au premier coup d'œil et qui te tuent. Il y a des moments de frustration extrême où il faut passer des plombes sur des niveaux, alors que ce n'est pas le but. Les vitres aussi qui font que les ennemis te repèrent plus facilement ; il y en a beaucoup trop à certains endroits ce qui fait que tu ne peux pas passer sans te faire dégommer la figure.
Et comble du "bonheur", c'est que le titre a un mode "Hard" qui est un délire ! (maps inversées, armes à feu ramassées avec la moitié des munitions, etc) !
Mais je lui pardonne tous ses pêchés, et je peux conclure ce top 1 !"
Theme favori : M.O.O.N. - Dust (Synthwave)
Conclusion :
Quand on connaît Lightstar, on pouvait s'attendre à voir du jeu de combat, du moins un minimum, tellement ce style le passionne et dont son niveau n'est plus à prouver sur certains titres.
Etonnamment, il n'en est rien et pour "cause", c'est qu'il a favorisé les jeux les plus marquants de sa vie en terme de scénario et d'ambiance (ce qu'un jeu de combat a rarement).
Du classique rétro au jeu indépendant en passant par des styles très différents, les 15 jeux favoris de Light ont été un choix difficile pur lui car d'autres titres aurait bien pu y être implémentés !
Des jeux qui auront changé sa vie de joueur comme sa vie tous simplement, ces 15 titres auront été décrit avec passion par Lightstar et j'espère que vous aurez pris plaisir à lire ses avis très intéressants à écrire pour ma part !
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